BULLE. Les fresques du Moderne, à Bulle, auront droit à un troisième épisode au Tribunal fédéral (TF), a rapporté La Liberté mardi. En juillet, l’instance cantonale avait donné tort au propriétaire, l’architecte Michel Acquaroli, qui recourait alors contre une décision préfectorale de 2021. Cette dernière ordonnait «le rétablissement de l’état de droit» des peintures murales de Jacques Cesa et Massimo Baroncelli endommagées en 2014 c (La Gruyère du 30 juillet). La préfecture donnait d’ailleurs le mandat à un consortium de deux restaurateurs-conservateurs. L’architecte s’était tourné une première fois vers le TF en 2016, où il avait partiellement obtenu gain de cause. L’instance avait alors demandé d’établir scientifiquement la valeur patrimoniale des œuvres, ce qui a été réalisé depuis.…