Dans un communiqué, la Police cantonale indique qu'elle a constaté le 5 décembre qu'un barreau métallique du bâtiment avait été scié. Elle pensait à cette époque que personne n'avait pu s'introduire à l'intérieur. Or, le 13 mars, le responsable de la gestion a constaté la disparition des stupéfiants, provenant de séquestres dans trois affaires différentes, alors qu'il devait aller les chercher à des fins d'analyse.
La Police cantonale relève également que le responsable de la gestion, absent pour une hospitalisation qui a eu lieu peu avant le vol et qui s'est prolongée jusqu'au début du mois de février, est retourné sur place à sa reprise du travail. Il s'est rendu compte à ce moment que des objets avaient été déplacés, sans pour autant constater d'effraction. Le bâtiment ne se trouvait momentanément plus sous alarme, pour raisons techniques, au moment du cambriolage.
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gabysmith (non vérifié)
mer, 27 mar. 2013
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