Enfin. J’arrive enfin au terme de mon défi «zéro carbone». Si j’ai connu quelques bas (relire la chronique numéro 3), j’ai aussi bénéficié d’un sacré coup de main providentiel. Grâce à la situation que l’on connaît, j’ai drastiquement réduit mes déplacements à l’extérieur et ma consommation de plein de trucs utiles et moins utiles.
Zéro voyage en voiture pour une séance ciné à Fribourg ou un apéro en Lavaux. Zéro excursion en transports publics pour voir mes potes de l’arc lémanique. Pas eu besoin non plus de refuser des sorties à Bulle (saviez-vous que manger au resto est plus énergivore que manger chez soi? C’est pas moi qui le dis, c’est le WWF). Et même pas de craquage sur Zalando ou Qoqa. Non, vraiment, le confinement m’a permis d’éviter de gros écueils. Et les chiffres sont là. Si…