En huit récits, Léopold Veuve, professeur retraité de l’EPFL et fondateur du bureau Urbaplan, retrace un demi-siècle d’expérience. Pour lui, l’urbanisme ne peut être que participatif. Rencontre.
SOPHIE ROULIN
Il est devenu urbaniste alors que la profession n’en était qu’à ses balbutiements en Suisse. Né en 1930, Léopold Veuve a vécu l’avènement de la voiture et de la mobilité, la reconquête de l’espace public par les piétons et les activités sociales, le rejet par leurs riverains de projets étudiés au millimètre par les professionnels…
Avec un regard à la fois curieux et analyste, ce professeur de l’EPFL à la retraite revient sur huit expériences personnelles dans un ouvrage intitulé Récits en quête de sens. Une façon de retracer cinquante ans de questionnement sur l’urbanisme et la gestion…