En 2020, le canton a renforcé sa lutte contre le travail au noir en modifiant la loi.
Presque quatre ans après son entrée en vigueur, une vingtaine d’entreprises ont été épinglées dans le canton.
Dans le domaine de la construction, on demande davantage de moyens.
ANGIE DAFFLON
FRAUDE. Le travail au noir, c’est comme le dopage: tout le monde (sauf les fraudeurs) s’accorde pour dire qu’il faut que cela cesse. Le Service public de l’emploi (SPE) parle d’un «véritable fléau» qui coûte environ 1 milliard de francs par année à l’économie du canton, auquel s’ajoute la distorsion de la concurrence et des conditions de travail parfois délicates. Mais c’est aussi un jeu du chat et de la souris, auquel on peine à mettre fin.
Pour autant, le canton ne se décourage pas et, pour renforcer la lutte contre…