Losers magnifiques (6): «The Room», le sommet ultime du nanar

jeu, 14. aoû. 2025

ERIC BULLIARD
Jusqu’au début des années 2000, l’affaire semblait entendue: personne ne contestait à Ed Wood et à son Plan 9 from outer space le titre de pire film de l’histoire du cinéma (lire ci-dessous). Et The Room débarqua. L’œuvre de Tommy Wiseau bouscule tout, dépasse toutes les séries Z, tous ces films involontairement drôles, tous ces «so bad it’s good». The Room, c’est le nanar ultime, «le Citizen Kane des mauvais films», comme on l’a surnommé.

Cette monstruosité cinématographique sort en 2003, dans quelques salles de Los Angeles. Il rapporte 1800 dollars en deux semaines. Un immense flop. Dans San Fernando Valley, trois étudiants en cinéma vont changer son destin. En passant devant une salle de leur quartier, ils découvrent une affiche annonçant que les spectateurs n’auront pas…

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