La chronique d'Éric Bulliard: Du singe à Shakespeare, il reste du chemin
Une époque formidable
Grâce soit rendue aux scientifiques, qui savent répandre un peu d’humour dans la grisaille des jours. Ainsi de Stephen Woodcock et Jay Falletta, mathématiciens de l’Université de technologie de Sidney, qui ont décidé de prendre au sérieux ce que l’on appelle le paradoxe du sin…