La chronique d'Éric Bulliard: De toute façon, c’est pas de ma faute
Une époque formidable
De mémoire de vieux footeux, jamais on n’a autant pleurniché. Pas une défaite sans que l’on incrimine le terrain trop sec, le calendrier trop chargé ou, surtout, l’arbitrage. Certes, la tendance est aussi vieille que le foot lui-même (ou du moins que l’arrivée des arbitres dan…